Le Petit Lillois 
23-12-2023 12:16
23-12-2023 12:16
Boavista, club détenu par Gérard Lopez (ex-LOSC), épinglé par la Ligue Portugaise
Détenue à 66% par Gérard Lopez, ancien président du LOSC, la formation portugaise de Boavista a été épinglée par la ligue locale pour « non-respect du contrôle des salaires » et doit faire face à un mouvement de grève lancée par son effectif.
Propriétaire des Girondins de Bordeaux, qui luttent actuellement pour leur maintien en Ligue 2, Gérard Lopez détient également 66% de Boavista, formation portugaise censée devenir l’un des clubs satellites du LOSC à l’époque où le Luxembourgeois était encore à sa tête. Onzième au Portugal soit dans le ventre mou, le club de la région de Barlavento n’a néanmoins plus remporté la moindre rencontre depuis le 18 septembre dernier. Une panne de résultats, conséquence directe de la morosité ambiance alors que les joueurs n’ont pas été payés depuis plusieurs semaines. Ces derniers, selon A Bola, auraient d’ailleurs refusé de s’entraîneur jeudi après-midi à 48 heures d’un déplacement sur la pelouse de Gil Vicente. Le but ? Protester contre les retards de salaires, impayés depuis « un ou deux mois » affirme L’Equipe.
En conséquence, la Ligue portugaise a sévi, épinglant Boavista pour « non-respect du contrôle des salaires ». Un délai de quinze jours a été donné à la direction du club pour régler la situation. Celle-ci « va être normalisée dans les jours à venir » indique un proche de l’ancien président lillois au journal francilien.
Propriétaire des Girondins de Bordeaux, qui luttent actuellement pour leur maintien en Ligue 2, Gérard Lopez détient également 66% de Boavista, formation portugaise censée devenir l’un des clubs satellites du LOSC à l’époque où le Luxembourgeois était encore à sa tête. Onzième au Portugal soit dans le ventre mou, le club de la région de Barlavento n’a néanmoins plus remporté la moindre rencontre depuis le 18 septembre dernier. Une panne de résultats, conséquence directe de la morosité ambiance alors que les joueurs n’ont pas été payés depuis plusieurs semaines. Ces derniers, selon A Bola, auraient d’ailleurs refusé de s’entraîneur jeudi après-midi à 48 heures d’un déplacement sur la pelouse de Gil Vicente. Le but ? Protester contre les retards de salaires, impayés depuis « un ou deux mois » affirme L’Equipe.
En conséquence, la Ligue portugaise a sévi, épinglant Boavista pour « non-respect du contrôle des salaires ». Un délai de quinze jours a été donné à la direction du club pour régler la situation. Celle-ci « va être normalisée dans les jours à venir » indique un proche de l’ancien président lillois au journal francilien.